".- Ni je clarifie ni je déclare. Je suis à profondeur de périscope”.
Article traduit en bas de page.

Introduction de la rédaction:- Petite histoire de C/A Ricardo SOSA RIOS ...et quelques mots sur lui et son influence sur la société vénézuélienne.

 C'est simple ! ...nous l'avons trouvé magnifique! cet article écrit en espagnol "dégoté"sur le Site ANALITICA.COM par le Vice -Amiral, A. PEREZ CRIOLLO qui a été dans les débuts de sa carrière militaire ordonnance du Grand Amiral vénézuélien Ricardo SOSA RIOS  (...nous vous prion de lire MAR DE LEVA auteur: Ricardo Sosa-Ríos édition vénézuélienne en langue ES) 

 Enfant, le petit SOSA RIOS, (issu d'anciennes familles d'origine basques qui habitent le Venezuela depuis 400 ans,) était étudiant à l'école LA SALLE à Caracas il se ferai remarquer par ses mérites particuliers, surtout très intelligent en maths, mais a cause de la mauvaise situation économique familiale; la famille SOSA était très riche mais lui il appartenais à une branche trés pauvre. Tellement, qu'il quitte l'école pour ne pas être un poids de plus pour sa mère la veuve Amalia RIOS de SOSA et il entra très jeune depuis l'age de 14-15 ans dans la Marine comme marin à l'école dénommé à l'époque: École de Guerre et Marine ou un jour un officier que lui il avait interpelé dans la rue: lui avait dit qu'il serai instruit, nourri et logé, il se présenta faisant une fausse déclaration de son jeune age, il poursuivi sa vie militaire, étudiant très brillant, par la suite et dans touts les cours y aura eu les meilleures qualifications,  et deviendra Comandant Général de la Marine de Guerre du Venezuela  dans les années 60, pendant la présidence de Rómulo BETANCOURT et de RAUL LEONI. Dénnomé par les siens le "Grand Amiral" ou "l'Amiral de la dignité". Marié avec Mlle. Esther LARRAZABAL UGUETO, fille du Vice-Amiral et Ex-président du Venezuela Wolfgang LARRAZABAL Ricardo SOSA RIOS, eu été séparé un temps de son "Armada" et sera speaker radio-tv à Maracaïbo*, grâce a son Oncle RIOS VALE l'Amiral sera aidé financièrement et deviendra par la suite un des pionniers dans la radio diffusion vénézuélienne. SOSA RIOS fonde  Radio BARINAS et Radio JUVENIL et sera le PDG de ces entreprises pendant plus de quarante années. Et pésident de la Chambre de Commerce et d'Industrie de La Radio Difision. SOSA est un personnage hors série: intelligent, honnête, sérieux, incorruptible, toutes les qualités semblent être peux aussi bien dans sa vie publique comme dans sa vie privé: il à a été un mari, un fils, un frère, un père, un beau père, un mari, un beau frère et un grand père exemplaire.Cette incontournable page de notre histoire vénézuélienne écrite par le V/A  A. PEREZ CRIOLLO qui actuellement  est en situation de Retraite et Disponibilité dans l'Armée et

 exerce en tant que professeur universitaire à CARACAS, ou il nous parle de son supérieur avec cette profonde admiration qu'il éprouve et qu'il voudrai rencontrer a nouveau dans les nouveau cadres de "l'Armada" et la vie politique vénézuélienne.

 Un mérite que SOSA RIOS a su se gagner, qui lui correspond par le respect des lois de sa nation, par le respect des lois de son institution armé et le respect de ceux et celles qui avons eu l'honneur de l'avoir connu. Il à semé dans le cœur des citoyens l'exemple des mots et l action qui encore a nos jours nous donne de la force et du courage à notre société moyenne meurtrie, blessé a mort par la corruption admistrative. La MÉRITOCRATIE ce mot magique repris sans cesser par Mr. Renaldo-José OTTOLINA PINTO "Renny" notre speaker n°1 des médias vénézuéliens, qui inspiré par la personnalité et la profonde honnêté, à suivi les pas de SOSA RIOS. Actu reprend cette phrase de Renny pour la postérité ._"Instruction et méritocratie, les uniques voies pour lutter contre l'ignorance, contre la corruption". Renny OTTOLINA  Cette MERITOCRACIE reprise par l'opposition actuelle ceux qui dans les barrios étudient, qui gagnent leur pain honnêtement, pauvres ou classe moyennes ici dans un barrio ont fait facillement la différence entre ceux qui méritent, et les bandits, les profiteurs ... qui se disents rouges pour avoir des sous sans rien faire.

Un des documents Perso' de SOSA RIOS que je préfère, est la première N°1 ou N°2 déclaration d'impôts du Venezuela, qui porte son nom et sa signature. Ses actes et sa façon de vivre en rectitude, on toujours été serons à jamais un exemple a suivre. 

Nous vous prions de lire le texte incontournable de PEREZ CRIOLLO et pour étudier les ressorts de notre mentalité et de notre histoire vénézuélienne on ne peut pas échapper de lire "MAR DE LEVA".

 La Rédaction D'Actu est entrain de préparer un autre texte qui nous emporte dans le temps, ce moment historique de l'intervention vénézuélienne avec l'argentine et les U.S.A. (Traité du TIAR) blocus à Cuba en 1962 à l'époque de la crise des missiles, l'Amiral Sosa RIOS était justement Le Comandant Général de La Marine de Guerre du Venezuela. prochainement, un autre chapitre de l' histoire du Venezuela avec la dignité et l'honneur de Ricardo SOSA-RIOS.

Actu'Venezuela
PORT-VENDRES le 18 Octobre,2004
Eric E. VIGOUROUX

 *( ...à Maracaibo, Ricardo SOSA RIOS eu travaillé au reporter ESSO et un de ses fils est à fait ses cours de Médecine à Maracaïbo et actuellement médecin chirurgien  traumatologue le Docteur Eduardo SOSA LARRAZABAL .un  traumatologue très reconnu, il donne des conférences dans le monde entier de sa façon d'opérer la colonne vertébrale: ses patients  invalides réussissent à marcher le jour suivant de la délicate intervention .)     

  Il entreprend la mise en oeuvre du nouveau siège de l'ÉCOLE NAVALE:  C'est à MAMO - CATIA LA MAR ou il trouva le terrain. Sous son commandement, l'École Navale sera bien vite une réalité.

Le C/Amiral Ricardo SOSA RIOS est un homme d'action, un homme pratique et performant, tous se souviendrons de son esprit d'entrepreneur et des bienfait à l'institution armée. Capitaine innée ce qu'il entreprend, ce qu'il conduit  il abouti a bon port. Il sera le grand rénovateur des installations de la Marine de Guerre vénézuélienne c'est le seul à l'époque a présenter devant le président de la république de l'époque Mr Rómulo Betancourt un projet de rénovation et modernisation avec des propos sérieux et censés de l'importance de 

Sosa Rios installa la Base navale de Paraguaná et pour la mise en oeuvre de l'aqueduc de cette Base il du recycler de vieux tubes de l'industrie pétrolière, reçu en donation. "L'Opération Tubo" avait 

 commencé ils marchent merveilleusement bien encore. Aussi la création et mise en oeuvre des installation pour la Base de Orient du pays (...source MAR DE LEVA C:a Ricardo SOSA RIOS)

a

.

La TRADUCTION Actu'  de  ARTICLE DE L'AMIRAL PEREZ CRIOLLO  SUR L'AMIRAL  SOSA RIOS de la Marine vénézuélienne  Notre article source sur le site  Analítica.com daté 08 Août2003, écrit par  le Vice Amiral V/A A. PEREZ CRIOLLO à Caracas, en Février 1992 et intitulé "UN COMANDANTE DIGNO", traaduction: 18 Octobre 2004 par  "Cyber-Rancho.Paris": Éric membre du Club d'Amis CyberRancho  à Port-Vendres 66 FR pour le Site Actu'Venezuela. 

UN COMMANDANT DIGNE

   Ce que je vais vous raconter est de l'histoire vécu. J'ai été un témoin d'exception puisque dans les mois de juin-juillet de 1963 j'étais responsable de l'Assistance de Direction du Commandant Général de la Marine, le C/Amiral Ricardo SOSA RIOS. Dans ce temps j'avait le degré de Lieutenant de Frégate, et par les raisons de l'honorable responsabilité à charge, j'ai pu accéder a des informations que dans d'autres cas, m'auraient été bloqués. 

   Aujourd'hui face aux positions prises par certains et devant l'étonnement de beaucoup  qui comme moi avons occupés les plus hautes positions dans la conduction des Forces Armées,  passé presque 30 années des faits que je  vais décrire, je ne crois pas pécher d'indiscret, pour faire les commentaires qui ennoblissent et correspondent a notre vrai Commandant, le digne, l' honnête, bien que de forte personnalité, très loyal à ses principes. 
C'était le mois de juin de 1963, la dernière année du Gouvernement de Monsieur Rómulo Betancourt, quand le Commandant Général de la Marine propose, selon les règlements en vigueur dans l'institution armé  à cette l'époque, les listes des officiers susceptibles de pouvoir élever de grade le jour de la Fête Nationale de cette même année le  5 juillet. Aux jours qui anticipent le Contralmirante SOSA RIOS  à été appelées au bureau du Ministre de la Défense et à son retour il dicte à son Secrétaire, Monsieur ORTEGA PEREZ, une lettre officielle classifié secrète où il expose les motifs pour les quels les trois capitaines n'ont pas été recommandés pour  élever leur degré d'Amiral le jour "J". Dans l'exposé SOSA RIOS à mi l'accent au faite que l'explication de ce texte officiel correspond au critère des réunions des Hauts Amiraux de la force "El Almirantazgo"dont il était le représentant maximum par sa condition de Commandant Général.

   Dans les jours a suivre, le Bureau du Commandant Général a été inondé par infinités de visites, d'appels téléphoniques de personnalités différentes de la vie nationale, Ministres, Sénateurs, Députés, Militaires de Haute Graduation, auxquels, le Commandant recevais et à certains d'eux il leur lisait le contenu de la lettre officielle qui reposai dans le coffre fort parmi la correspondance classé .Donc bien, dans cette occasion, cette année 1963, la position de "Almirantazgo" a été respectée et les officiers non recommandés, non pas monté de grade.

   Durant l'année, 1964, je me trouvai exerçant des fonctions comme Officier des installations de l'Académie Navale du Venezuela et par les événements arrivés, je suppose que la situation de pressions sur le Contralmirante SOSA, était au moins similaire à l'année précédente. Le  fait est que l'Amiral SOSA a été appelé par le nouveau élu Président de la République, Dr. Raúl Leoni, pour traiter le cas des l'ascension des trois capitaines de frégate.

   Le jour de la rencontre, étaient présents le Ministre de la Défense, Général Ramón-Florencio GOMEZ  et le Secrétaire de la Présidence de la République Manuel MANTILLA . L'Amiral SOSA RIOS expose a nouveau et maintient son critère qui n'était pas d'autre que le même qu'il maintenait depuis l'année précédente. Il est arrivé qu'au milieu de la discussion SOSA RIOS a été informé que à lui même ils le monteraient au grade de Vice- Amiral "Vicealmirante" à ce que avec le respect qui correspond mais aussi avec beaucoup de dignité et de fermeté a répondu : .-“Monsieur le Président, je vous remercie beaucoup mais UN SOLEIL M'ILLUMINE, DEUX SOLEILS M'ÉBLOUISSENT ET PEUVENT ME BRÛLER”. S'il vous plaît, je vous demande de disposer de mon poste." (...l'uniforme de Contre-Amiral a un soleil, celui de Vice Amiral en à deux.)

  A la sortie de la réunion au Palais de Miraflores, les journalistes soucieux l'interceptent à la recherche d'information, l'opinion publique sachant qu'il existait un impasse. SOSA RIOS se limite à répondre: ".- Ni je clarifie ni je déclare. Je suis à profondeur de périscope”. 

  Peut de jours plus tard SOSA RIOS a été remplacé en cérémonie inusuelle en tant que Comandant Général de la Marine.Il est vraie qu'avant que le Ministre de la Défense arrive aux siège principal de la Marine à San Bernardino- Caracas , un groupe de jeunes officiers voulait faire le Ministre prisonnier à son arrivée, mais à la demande de SOSA RIOS  et des Amiraux GARCIA LANDAETA et BENATUIL entre autres, l'action n'a pas  eu lieux.

  SOSA RIOS, passe par la grande porte de l'honneur vers l'histoire, avec le front très haut  et avec le respect et l'admiration de ceux qui étions ses subalternes ; le respect et l'admiration qui de nos jours sont toujours déclaré devant la présence de ce Vieux Loup de Mer ou qu'il soi, qui était par-dessus tout un vrai dirigeant, un vrai Commandant.  Un "lider" qui ne c'est pas laissé convaincre,  ni par des positions, ni pour avoir le pouvoir. Il a maintenu ses critères dans toutes les circonstances restant loyal aux principes de la Démocratie qu'il  se devait à tout prix en donnant l'exemple. Et par dessus de tout loyal a la Force qu'il à eu l'honneur de commander. Son legs à été l'exemple qui lamentablement n'a pas été suivi et donc je crie a toute voie  : ! Combien de SOSA RIOS encore avons besoins, et combien nous manquents ! 

Vice Almirante
A. PEREZ CRIOLLO

Caracas, Février de 1992

TEXTE ORIGINAL EN ESPAGNOL

Vice Almirante PEREZ CRIOLLO

UN COMANDANTE DIGNO

   Lo que voy a relatar es historia vivida. Fui testigo de excepción ya que en Junio-Julio de 1963 estuve encargado de la Ayudantía del Comandante General de la Marina, el Contralmirante Ricardo Sosa Ríos. En aquel tiempo tenía el grado de Teniente de Fragata, y por razones del honorífico cargo que desempeñaba, tuve acceso a informaciones que en otros casos me estaban vedadas. 
Hoy, frente a posiciones tomadas por algunos y ante el asombro de muchos de los que hemos ocupado posiciones cimeras en la conducción de las Fuerzas Armadas, y transcurridos casi 30 años de los hechos que voy a narrar, creo que sin pecar de indiscreto debo hacer los comentarios que enaltecen a un verdadero Comandante, digno, pundonoroso, honesto, de recia personalidad y leal a sus principios. 

   Corría el mes de Junio de 1963, último año del Gobierno de Don Rómulo Betancourt, cuando el Comandante General de la Marina propone, de acuerdo a los reglamentos vigentes para ese entonces, las listas de Oficiales propuestos para ascender el 5 de Julio de ese año. A los días el Contralmirante Sosa Ríos fue llamado al despacho del Ministro de la Defensa y a su regreso le dictó a su Secretario, Sr. Ortega Pérez, un Oficio clasificado Secreto donde exponía los motivos por los cuales tres Capitanes de Navío no estaban recomendados para ascender al grado de Contralmirante. En la exposición Sosa hacía hincapié en que lo expresado en la correspondencia oficial era el criterio del Almirantazgo del cual él era el máximo representante por su condición de Comandante General. 

   En estos días, la Oficina del Comandante General fue inundada por infinidad de visitas y llamadas telefónicas de diferentes personalidades del quehacer nacional, Ministros, Senadores, Diputados, Militares de Alta Graduación, a los cuales el Comandante atendía y a algunos de éllos les leía el contenido del Oficio cuya copia reposaba en la caja fuerte donde se guardaba entre otras cosas correspondencia clasificada. Pues bien, en esa oportunidad, año 1963, la posición del Almirantazgo fue respetada y los Oficiales no recomendados no ascendieron. 

   Al año siguiente, 1964, me encontraba ejerciendo funciones como Oficial de Planta en la Escuela Naval de Venezuela y por los acontecimientos acaecidos, supongo que la situación de presiones sobre el Contralmirante Sosa fue al menos similar al año anterior. El hecho es que el Almirante Sosa fue llamado por el Presidente de la República, Dr. Raúl Leoni, para tratar el caso del ascenso de los tres Capitanes de Navío. En esa reunión, presentes el Ministro de la Defensa, General Ramón Florencio Gómez y Manuel Mantilla Secretario de la Presidencia de la República, Sosa Ríos expuso y mantuvo su criterio que no era el otro que el que venía expresando desde el año anterior. Trascendió que en medio de la discusión Sosa Ríos fue informado de que incluso a él lo ascenderían a Vicealmirante a lo que con respeto pero también con mucha dignidad y firmeza contestó: “Presidente, muchas gracias pero UN SOL ME ILUMINA, DOS SOLES ME ENCANDILAN Y ME PUEDEN QUEMAR”. Por favor disponga Usted de mi cargo”. 

   A la salida de Miraflores, periodistas ansiosos lo abordan en busca de información ya que había trascendido a la Opinión Pública la existencia de un impasse y Sosa Ríos sólo se limita a responder “Ni aclaro ni declaro. Estoy a profundidad de periscopio”. A los días, Sosa fue sustituido en ceremonia inusual como Comandante General de la Marina. Por cierto que antes de que el Ministro de la Defensa llegase a la sede de la Marina en San Bernardino, un grupo de Oficiales jóvenes estuvo dispuesto a hacer preso al Ministro a su llegada, pero a requerimiento del mismo Sosa Ríos y de los Almirantes García Landaeta y Benatuil entre otros, la acción no se cumplió. 

   Sosa Ríos, salió por la puerta grande del honor hacia la historia, con la frente muy en alto y con el respeto y la admiración de quienes fuimos sus subalternos; respeto y admiración que aún hoy en día se manifiestan ante la presencia de este Viejo Lobo de Mar que ante todo fue un verdadero Jefe, un verdadero Comandante. Fue un líder. No se dejó obnubilar ni por posiciones ni por el poder. Mantuvo sus criterios en toda circunstancia permaneciendo leal a los principios de la Democracia que había que establecer a toda costa. Y por sobre todo, fue leal a la Fuerza que tuvo el honor de Comandar. Su legado fue el ejemplo que lamentablemente no ha sido seguido y por eso exclamo: !Cuantos Sosa Ríos nos han hecho y nos hacen falta!. 

Vice Almirante PEREZ CRIOLLO

Caracas, Febrero de 1992

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