Quel bonheur que l’amour soit tout autour de nous
Quel bonheur que le renouveau du printemps
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En robe de nuit
Venait souvent me voir
Pour me dire bonsoir
Et me souhaiter bonne nuit
Cette belle dame
Avait de longs cheveux d’or
Qui enveloppaient entier son corps
D’une douce auréole
De soleil lumineux
De cette belle dame
Je ne savais rien
Mais elle m’inspirait confiance
Avec ses jolies dents blanches
Et son air doux et fier
Hélas cette belle dame
Me trompa
Et me trahit
Comme on vend des secrets de minuit
A quelque vagabond sur la route
Une belle dame
En robe de nuit
Ne revint plus jamais
Secrets envolés
D’une triste nuit
A l’abri des regards est un petit village
Ignorant et ignoré de tous
Dont moi seule connaît le chemin
De temps à autre un ancien habitant
Revisite sa demeure
Mais sa maison ne le reconnaît plus
Et sa porte reste fermée
Caché au creux de la vallée
Et au coin de son bois
Ce petit village reste
Un endroit mystérieux et paisible
Dont moi seule ai la clef
La mère tient son enfant
Elle le regarde en le berçant.
De ses yeux doux il la contemple
Ferme ses paupières ; son visage semble
Tranquille, serein, on dirait presque qu’il rit.
Une larme de sa mère s’échappe
Roule sur la joue fanée et âpre
Puis tombe sur la main de l’enfant.
Elle le couche dans son berceau de bois,
Se penche, lui dépose un dernier baiser
Et jette une première poignée de terre.
L’ âme s’envole telle une plume légère
Et déjà le petit être innocent illumine le paradis.
Quel bonheur de voir un cheval blanc
Aussi vif que le vent,
Quel bonheur : il galope à travers champs
Dans la neige et les torrents,
Quel bonheur : sa crinière vole au vent
Dans le soleil couchant,
Quel bonheur : la queue en panache
Fait frémir ses moustaches,
Quel bonheur : son hennissement retentit
Jusqu’au bout de la nuit,
Quel bonheur de voir un corps aussi sauvage
Qui n’est pas enfermé dans une cage,
Quel bonheur d’admirer un être aussi pur
Ne faisant qu’un avec la nature.
Quel bonheur de regarder les étoiles
Allongé sur une toile
La tête tournée vers le ciel
Mais ça paraît si superficiel
Quel bonheur d’être couché
Sur l’herbe encore mouillée
Sentir sa fraîcheur me pénétrer
Mais c’est tellement mieux d’être couché
Dans un lit bien douillet
Pour ne plus rien penser
Quel bonheur , une étoile filante
La musique de ma douce enfance me hante
Me rappelant des souvenirs
A n’en plus finir .
Quel bonheur de vivre libre,
Chacun souhaite y avoir droit,
Mais pour cela soyons adroits,
Pour que le monde vibre.
Quel bonheur de voir, d’entendre,
De sentir et de toucher,
Quel bonheur d’être sur terre,
Dans ce monde bleu et vert.
Quel bonheur de voir des cendres
Toujours fumantes d’avoir brûlé
De mille flammes éclatantes.
Quel bonheur d’entendre la pluie,
Quel bonheur de toucher la terre,
Et de sentir souffler le vent.
Quel bonheur de voir la nature
Qui se couvre de verdure,
La nature qui se réveille
Après un long sommeil
Quel bonheur de voir la nature
A travers les clôtures,
De se promener dans les prés
De regarder les épis de blé
Quel bonheur d’entendre le vent
Qui siffle à travers champs
Traversant les bois dénudés
Quel bonheur de voir les prairies
Par les neiges toutes blanchies
Et l’année est terminée.
Quel bonheur tu m’as donné
Durant toutes ces années
Quel bonheur de t’avoir trouvé
Tout au bout de ce pré
Quel bonheur d’être avec toi
Sans toi je serais perdu
Quel bonheur d’être dans tes bras
Grâce à toi j’ai tout eu
Quel bonheur de te voir tous les matins
Lorsque je sens ton doux parfum
Quel bonheur de sentir mon cœur battre aux rythmes des tambours
Quel bonheur de te savoir pour la vie à mes cotés
Et je sais que rien ne va nous séparer
Quel bonheur de connaître enfin l’amour .
Quel bonheur de voir enfin la nature en fleurs
Quel bonheur, c'est le printemps!
Quel bonheur, il fait beau temps,
La nature resplendit de belles couleurs.
Quel bonheur, on entend de joyeux pépiements,
Quel bonheur, ils remplacent le vacarme des vents.
Quel bonheur, voici la plus belle des saisons,
Où enfin éclosent les beaux bourgeons.
Quel bonheur, on voit des hirondelles,
Quel bonheur, elles sont tellement belles!
Quel bonheur, c'est le printemps!
Les arbres de la nature reverdissent,
Les couleurs de l'hiver à côté pâlissent!
Quel bonheur, c'est le printemps!
Malheureux soit le Dieu qui joue avec le feu
Malheureux soit le diable qui joue avec l’amour
Malheureux soit le soleil s’il joue avec la pluie
Malheureux soient les nuages s’ils jouent avec le vent
Malheureux soient les hommes si le monde ne change pas
Malheureuse soit la nature si l’homme ne change pas
Malheureuse soit la femme du trottoir
Malheureux soit l’enfant battu
Malheureux soit l’homme sans famille
Malheureux soit l’homme qui a perdu son chemin
Malheureux soit l’homme qui n’est pas aimé
Malheureux soit l’homme qui a peur de la mort
Malheureux soit l’homme qui est ami avec la mort
Malheureux soit…..
Bienheureux soit le jour qui se lève,
Bienheureux soient les gens qui cessent leurs rêves,
Bienheureux soit le soleil,
Qui chasse la nuit dans le ciel.
Bienheureuse soit la nuit, qui laisse place à l’aube,
Bienheureuses soient les gouttes de l'aurore,
Qui précieuses comme l'or,
Redonnent vie à la flore.
Bienheureuse soit la nuit,
Bienheureux soit le vers luisant qui le soir luit,
Bienheureux soit ainsi le crépuscule.
Bienheureux soient le jour, la nuit,
Bienheureux soient l'aube, le crépuscule,
Bienheureux soit ainsi le monde dans sa longue danse incessante.
Malheureux soient les hommes qui se font la guerre
Et qui souillent par leur sang la terre.
Malheureux soient les racistes
Qui persécutent les métis.
Malheureux soient les enfants
Qui se font battre par leurs parents.
Malheureuses soient les femmes islamistes
Et qui doivent supporter des hommes despotiques.
Malheureux soit Ben Laden
Qui a tué avec tant de haine.
Malheureux soient tous ceux
Qui dans leur vie ne pensent qu’à eux.
C’est cette envie de rire,
Et d’être entre tes bras,
C’est juste un sourire,
Te dire, je pense à toi.
Et malgré la distance,
Malgré nos différences,
C’est juste un sourire,
Que mon cœur peut t’offrir
C’est un cadeau du ciel,
Que d’étirer ses lèvres,
Et de dire à notre monde,
Je vous offre un sourire.
Qui parcourant le monde,
Agrandissant notre ronde,
Du bonheur et des rires,
Agrandira notre sourire.
Il existe un être mystérieux,
Que l’on ne peut voir de ses yeux.
Mais cela n’est que passager,
Car un jour il viendra.
Par son aura il nous sauvera,
de ce monde chaotique et sans loi.
Par son âme il rendra la foi ;
libérant les spectres damnés,
Par la douleur et la haine depuis l’éternité.
« Espérance »
Le mot de la sentence.
Il résonne dans les cieux,
invoqué et prié par les dieux.
De ce nom….
Cet être répond !
« Espérance »
Le mot de l’innocence.
Par pureté et passion,
Il remplira sa mission.
En tant que messager des dieux,
Il parcourra les lieux.
Pour sauver, pour protéger ;
Mais aussi pour aimer.
Ô Neige
Fais tomber tes flocons blancs
Tant qu'il en est encore temps.
Ô pure et douce neige
Fais frissonner mon corps par ta beauté
Et rends moi joyeux
Illumine mon chemin par ta clarté
Ô petits anges blancs venus de la haut
Continuez ce que vous faites déjà
Me rendre heureux en me parlant de là-bas
Du paradis, de tout la haut
De la montagne.
Quel bonheur de voir arriver le printemps,
Grande période pour 1es oiseaux de chant.
Quel bonheur de voir courir des enfants,
Dans de magnifiques champs.
Quel bonheur de voir des hirondelles,
Voler avec la pureté de leurs ailes.
Quel bonheur de voir la nature spontanée,
Que personne ne vient déranger.
Quel bonheur de voir des amoureux,
Qui ne peuvent être qu'heureux,
En regardant un soleil couchant,
Par un si joli temps,
Qui ne peut être que celui du printemps.
Quel bonheur que l’amour soit tout autour de nous,
Et rende les gens heureux parmi nous.
Quel bonheur que les oiseaux nous réveillent en chantant,
Par leurs airs mélodieux et reposants.
Quel bonheur le soleil qui brille,
La lune qui scintille.
Quel bonheur de voir la mer si calme puis qui s’agite soudain.
Quel bonheur la nature qui s’éveille chaque matin.
Et quel bonheur de manger quand nous prend la faim.
Quel bonheur la victoire acquise en ce mois de juin,
Et ces feux qui nous ont réchauffés et séchés.
Quel bonheur les livres qui nous distraient et nous cultivent,
Et leurs pages au fil de la lecture s’activent.
Quel bonheur la montagne qui nous a fatigué et fasciné.
Quel bonheur que l'arc-en-ciel, ce lieu de calme et de prospérité.
Peut-être est-ce le domaine des dieux,
cet endroit d'une grande beauté.
La nature et la nuit sous mille feux
reflètent de toutes les couleurs.
C'est un grand cœur
perdu dans l'univers,
sous un ciel bleu et une grande terre.
Ou peut-être est-ce une des sept merveilles du monde
créée par Dieu et à moitié ronde.
Ou alors une réaction chimique entre l'eau et le Soleil,
créant ainsi une couleur miel.
Pourquoi pas aussi le dessin d'un enfant
qui vient juste d'avoir six ans.
Ou bien alors un feu d'artifice
qui, après avoir explosé, plonge dans un précipice.
Mais je pense que cela fait partie d'un des dons de la nature, qui laisse rêver grands et petits.
Quel bonheur de voir ce beau ciel bleu sans nuages
Quel bonheur que cette magie pure à mon réveil
Quel bonheur de sentir sur ma peau le soleil
Quel bonheur d'entendre le vent dans les feuillages.
Quel bonheur d'avoir pu partir pour ce voyage
Quel bonheur que ce petit souffle à mes joue vermeilles
Quel bonheur de sentir ce parfum sous la treille
Quel bonheur de découvrir de nouveaux rivages.
Quel bonheur de se promener en toute liberté
Quel bonheur cette douceur et ces soirs d'été
Quel bonheur ce silence et ce temps de repos.
Quel bonheur de savoir que l'on est en vacances
Quel bonheur ce temps libre : c'est une belle chance.
Quel bonheur que cette agréable vie de château.
Malheureux soient les oiseaux en cages,
Malheureux soient les cris des enfants
Malheureux soient les enfants en rage,
Malheureux soient les enfants perturbants,
Malheureux soient les fleurs desséchées ,
Malheureux soient les enfants qui se plaignent
Malheureux soient les araignées.
Malheureux soient les enfants qui saignent
Malheureux soient les gens égoïstes,
Malheureux soient les riches capitalistes,
Malheureux soient les gens qui ne peuvent aimer.
Malheureux soient les enfants mal élevés ,
Malheureux soient les enfants non éduqués,
Malheureux soient les gens qui ne peuvent se marier.
Quel bonheur j’ai reçu de toi,
Quel bonheur j’ai eu de t’avoir,
Quel bonheur m’as-tu donné,
Dans quel bonheur m’as-tu plongé ?
Quel bonheur d’être ton fils
Pendant toute ma vie,
Quel bonheur je t’ai donné aussi,
Aussi bien dans ton ventre que sur terre.
Quel bonheur de n’avoir pas vécu le malheur,
Quel bonheur qu’il se venge sur les voleurs
Et non sur ceux qui sont honnêtes.
Quel bonheur que je sois heureux,
Surtout avec toi,
Quel bonheur que nous ne soyons jamais séparés l’un de l’autre.
Quel bonheur que le renouveau du printemps
Qui égaye nos cœurs trois mois par an ;
Quel bonheur que ce soleil qui réchauffe tant
Et cette nature qui repousse vivement.
Quel bonheur que ces oiseaux qui chantent l’amour
Et ces fleurs, qui d’un coup, se montrent au jour.
Quel bonheur que ces arbres, si beaux, si forts ;
Quel bonheur en somme que cette nature qui nous livre ses trésors.
Quel bonheur que le Printemps, mère des Amours
Qui unit deux êtres pour toujours
Et dont l’enfant est le fruit passionné.
La jeune famille attend patiemment
La venue prochaine du printemps
Qui est la plus belle des saisons.
Que bonheur que Dieu ait créé l’univers,
Quel bonheur que le soleil illumine la terre,
Quel bonheur que le paradis existe,
Quel bonheur que les gens rêvent,
Quel bonheur que les sourires des gens rayonnent,
Quel bonheur que le courage !
Quel bonheur que l’écriture soit venue,
Quel bonheur que la musique soit inventée,
Quel bonheur de lire.
Quel bonheur que d’apprendre !
Quel bonheur que le monde bouge,
Et surtout,
Quel bonheur de vivre !
Dernière mise à jour le 12/06/03.