Il fait bon vivre au Venezuela, à Caracas à 1.000 m au-dessus du niveau de la mer : un mélange de printemps-été éternel. Et c’est encore plus doux à TURUMO.
Entouré d’une forêt tropicale Turumo est situé entre une des grandes banlieues de Caracas. Ce nom provient d’une ancienne tribu des Caraïbes « Los Turumos » et celui d’un Arbre de notre région.
   Notre petit paradis, caché par des arbres touffus et verdoyants immenses, se situe entre « La Cordillera de la Costa », la chaîne de montagne qui sépare, au Nord, Caracas de la mer des Caraïbes (*) et au Sud, « la Cordillera del Interior ». Ce secteur est situé sur un versant des montagnes, à 100 m au-dessus de la vallée de Caracas. A cette hauteur un bouclier naturel nous
protège de la chaleur torride des tropiques et d’une grande quantité de maladies liées aux moustiques. Notre quartier, très étendu, a peu de population avec des maisons disséminées au milieu d’une jungle
sub-tropicale humide, du côté Est de« la Gran Caracas », dans le macro-secteur dénommé « Filas de Mariches », à moins de 8 km de l’immense mégapole. Il se situe
entre la route nationale de « Petare »(Pétaré) vers « Guarenas » (Guarénas) et celle de « Petare »(Pétaré) vers « Santa Lucia ».
   Notre maison s’appelle « Quinta (villa) OAHU », le nom d’une des îles du Pacifique. C’est un ancien rêve d’enfance de ma mère, Josette SUÑER RIBES, née en 1922 et élevée à Paris. Depuis toujours elle s’est focalisée à dessiner l’exubérance des tropiques. Très active, encore de nos jours, Josette a bien des occupations à TURUMO : tantôt elle prend un livre, achève un nouveau tableau (Art Pop), écoute les piaillements des oiseaux et enrichit sa collection de la flore tropicale dans son jardin-jungle où l’on trouve une diversité de plantes et de fleurs du Venezuela et d’autres régions du monde qui s’épanouissent et lui rendent hommage.
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   (*) Aussi dénommé Mer des Antilles

        Information utile

    Nous sommes des Français établis ou nés à Caracas (4ème génération) et en même temps des vénézuéliens.
Les Vénézuéliens sont de braves gens, très accueillants et expansifs avec leurs défauts et leurs qualités. Une grande majorité de la population est pauvre, la croissance démographique est importante et les actions sociales prennent le chemin vers le Populisme.
La politique reste la politique : et avec les prochaines élections le Venezuela traverse une période socialement perturbée où chacun essaye de ne pas perdre pied dans cette instabilité et cette insécurité. Notre pays pétrolier est riche certes, mais une désorganisation de mieux en mieux structurée et une corruption très présente, nous confrontent à des milliers de gens sans travail. Je vous conseille de FAIRE du TOURISME ACCOMPAGNÉ par des guides francophones, des guides qui connaissent le pays et ses habitudes et qui savent circuler dans tous les méandres sachant quoi faire à chaque instant aussi bien dans la nature sauvage à l’intérieur du pays que dans la moderne et belle jungle de béton et nature dénommée Caracas.