L'argumentaire de Floyd Landis expliquant son contrôle positif à la testostérone par la prise d'un médicament pour la tyroïde ou la prise d'alcool est battu en brèche par Christiane Ayotte, directrice du laboratoire de lutte contre le dopage de Montréal (Canada). Elle explique en effet que "l'augmentation, même naturelle du rapport testostérone/epitestostérone ne peu en aucun cas être expliqué par la prise d'hormone thyroïdienne. L'alcool peut expliquer cette hausse, mais uniquement chez les femmes".
Par ailleurs, des médias allemands révèlent que le rapport testostérone/epitestostérone de Landis serait de 11 (un rapport supérieur à 4 indique la positivité du coureur), alors que L'Equipe annonce que la testostérone prélevée chez Landis serait exogène.
Source : cyclingnews.com
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