Les années 70 en Belgique. Ghislain Lambert, qui vit dans une ferme avec sa mère et son frère rêve de devenir coureur professionnel. L'occasion lui est donnée d'intégrer l'équipe Magicrème où il sera simple soldat aux côtés du champion de la formation. Il va très vite apprendre tous les rouages du métier, dopage y compris.
Rare sont les films rendant hommage au cyclisme. «Le Vélo de Ghislain Lambert» constitue ainsi sans doute un inédit. Pour ce film, le réalisateur s'est longuement documenté sur le Tour de France. Il a entraîné dans sa course, Benoît Poelvoorde, qui s'est glissé dans la peau d'un malheureux cycliste.
Le site officiel du film, lancé en Europe le 31 octobre 2001.
Des articles, des entrevues, des critiques :
- "J'ai essayé de célébrer les coureurs cyclistes sans les trahir" de dire le réalisateur au Figaro, (France)
- Le film "navigue entre drôlerie et pathétique, dans un dosage intelligent et réussi. Rien que du plaisir!" selon La Dépêche du midi, (France)
- "Si Le Vélo… n’est pas le film définitif sur le cyclisme ou le dopage, c’est un beau portrait" Première, (France)
- "Un exercice de mise en jambes indispensable pour ceux qui suivent avec ferveur la grand- messe du Tour de France. Les autres risquent de trouver l'épreuve un peu longue" La Dépêche du Midi (France)
- "Le monde des courses cyclistes avec ses rites et ses magouilles est particulièrement bien brossé." Webdo, (Suisse)
- "Le film s’avère un ratage parfait. Aussi plat que le plat pays où pédale Ghislain, le scénario déraille de gags poussifs en incohérences et trivialité" d'indiquer L'Hebdo, (Suisse)
- "Philippe Harel raconte moins une histoire qu'une série d'anecdotes de plus en plus décousues" selon Le Monde (France)
- "Au départ, ça devait être une vraie comédie. C'est l'aspect tragique de ce sport qui nous a finalement le plus inspirés" de déclarer Benoît Poelvoorde à
Bluewin, (Suisse)
- "Plusieurs scènes sont irrésistibles, notamment celle où le malheureux Ghislain, « chargé » d'une maxi-dose d'amphétamines que son collègue italien lui a injectée sans mesure dans le fessier, arrive sur la ligne de départ pour signer sa feuille d'enregistrement" Le Parisien (France)
- Le 16ème Festival International du Film Francophone de Namur s'ouvrira avec LE VÉLO DE GHISLAIN LAMBERT. Le film relate l'histoire d'un petit coureur belge dont la seule ambition est de devenir un champion, et dont le plus grand malheur est de ne pas avoir les jambes que son cœur mérite. Le film sera entouré d'une animation événementielle dans toute la ville de Namur au travers d'une course cycliste en présence des grands noms du milieu, cyclistes et journalistes sportifs. Cette course est ouverte au public sans distinction d'âge, avec une participation aux frais de 200 FB. (Belgique)
- Dans Le vélo de Ghislain Lambert, Benoît Poelvoorde joue un coureur obscur de l'époque Merckx. L'acteur utilise sa bécane de course dans Namur, où une partie du film a été tournée. Il nous parle de sa ville avec chaleur. (Belgique)
- Ancien professionnel cycliste devenu prof de sports, Loïc Le Bourhis est le speaker officiel du Tour. Le Télégramme, (France)
- "Poelvoorde vénère les seconds couteaux, «ceux qui, perdus dans le fond, éclairent l'avant»" L'Express, (France)
- "Il est certain qu’au prochain Tour de France, vous vous intéresserez davantage aux derniers de la course" Lyon Capitale, (France)
une page mise à jour le 9 novembre 2001 par SVP