Caracas - Caraïbes
Ce n'est pas
un hasard si par étymologie CARACAS est la capitale
des indiens caraïbes jadis les plus terribles du continent américain:
"les mangeur d'hommes", habitants de la mer qui porte leur même nom,
séparé de l'Atlantique par Les Antilles,l'immense peuple marin disséminé
dans le bassin caraïbe
eu un destin malheureux: une a une, les
nombreuses îles ont été ravagés par les pirates et
les conquistadors et leur populations d'origine a disparu a jamais. Mais ça n'as pas
été de même pour les peuples caraïbes qui vivaient eux, au bord du
continent. Dans le cas du Venezuela qui compte 1350 KM de plages et sa
géographie qui a donné un refuge naturel en terre ferme: des
montagnes impénétrables avec des forêts tropicales vénézuéliennes.
Actuellement beaucoup d'îles restent encore comme témoignage du désastre
ethnique dans la plupart d'elles il ne reste que des blancs et des noirs.,
ou le mélange de ses deux races, d'autres appartiennent encore au nations
caraïbes qui correspondent a l'Amérique Centrale ou du Sud, notament a la
Colombie et au Venezuela: les droits peuvent aller très loin au large:
question de pêche et habitudes ancestrales: très loin du plateau
continental vénézuélien l'île de Las Aves ou viennen désover des tortues
est elle miraculeusement préservé et visité régulièrement par des
français: elle se trouve au Nord des caraïbes: situé au Sud de St Domingue
et a l'Ouest des Antilles françaises. Voici donc aussi dans les caraïbes
une mosaïque de preuves vivantes qui démontrent la suprématie d'antan de
nos indiens caraïbes sur une mer transformé en vaste secteur
d'habitudes. De nos jours, dans l'immense bassin des caraïbes, la population adoucie par 500
ans de mélanges ethniques se laisse toujours emporter par ses vagues,
l'inspiration des
boléros, salsa, merengues, calipso, cha-cha-cha, mambo et d'autres musiques
de charme et onts tous des coutumes qui se ressemblent: .-"la vie est douce
a Caracas".
Heureux de vivre à CARACAS.
Une étonnante
mégapole de 11 millions d'habitants qui a l'heureuse particularité d' être
la capitale la moin pollué d'Amérique latine. Caracas tourne le dos à la
mer, elle a une infrastructure très moderne: mélange de béton, de
palmiers, et d'autres plantes: cette végétation exubérante et au millieux
les urbanismes les uns classe moyenne, d'autres très riches et d'autres
tres pauvres qui peuvent être aussi côte a côte: le contrast donne a notre
cité un esprit très particulier. La capitale du Venezuela est haut perché
comme un immense serpent sur une impressionnante vallée étroite de 8 à 12
KM et 70 KM de long ou plus si on compte la distance entre GUATIRE à LOS
TEQUES villes extrêmes de la dennomé "Gran Caracas", elle est bondé de
recoins, d'intéressants paysages et de lieux sauvages et le faite d'être
en plein sous les tropiques au Sud du bassin des Caraïbes et au milieux
Nord du Venezuela et de l'Amérique du Sud ou un climat d'exception est du
a un gracieux mélange de circonstances qui font que les températures et le
climat est "quasi" constant toute l'année: ni trop chaud, ni trop froid:
tantôt c'est la fraîcheur du printemps en saison séche et quand il fait
chaud: l'été éternel est atténué par notre époque des pluies. Si certes,
le Venezuela est un pays des moins connu ou mal connu par les français,
ceux qui arrivent a le parcourir et le connaître vraiment ne peuvent plus
s'en débarrasser et encore moin l'oublier: pour moi c'est l'endroit rêvé
pour trouver de très grands espaces de nature vraiment vierge, même pas si
loin de chez moi, (je suis a moin de 9 Km. de Caracas), de rencontrer une
nouvelle espèce ou sous espèce d'oiseau: plus du tier de toutes les
éspèces d' oiseaux du monde se trouvent ici, j'aime sentir cette ambiance
de félicité qui démarre tout les vendredi après-midi a cause du week-end,
ma vie est simple vraiment: je vie d'abord et je travaille après. Une vie
particulière, très authentique: on se régale ici plein soleil comme a midi
en été toute l' année, dans un pays pétrolier, je peut encore conduire une
8 cilindres (ma pick-up Chevrolet 350) avec de l'esscence pas cher
nous pouvons faire des kilomètres, et des kms, avec peut d'argent sur des
routes et autoroutes, on rencontre partout un gran confort comme
en France avec ou sans argent aussi: l'acceuil des gens du coin est toujours superbe!: avec l'espagnol dans
la poche il est possible de partager avec la population simple elle, mes
très gentille ( du genre pour ceux qui connaissent la République
Dominicaine). Ah! et les "Na-na" son fabuleuses! pour moi c'est la magie
de pouvoir travailler et aussi avoir le temps de vivre, de vivre chaque
instant de ma vie. encore de nos jours le rêve ici est possible d'une vie
moderne, j'aprécie l'ai pur, le faite que notre "Véné" est pratiquement
sans pollution. Sécurité et oui rien n'est parfait mais si on ne se mêle
pas de politique on habite pour le moment, a ce jour, une authentique
liberté. Pour un francophone enragé une des plus grandes contraintes est
la langue officielle du Venezuela: "le castellano" ou espagnol mais les
vénézuéliens se donneront vraiment du mal pour vous démontrer leur amitié
en aparence superficielle mais une vraie amitié et feron tout pour vous
aider a comprendre la langue de Cervantes et pour mieux vivre avec eux,
faudrait il pas parler d'argent (ça pourrai donner de facheuses idées a
des tas de gens "paumés" ou envieux ). La vallée caraquégne se trouve
entre 900 M. et 1.200 M. d'altitude et elle est encadré entre la
Cordillère de la Costa qui elle se trouve au Nord entre la ville et la mer
le Park National El Avila ou le pic Avila 2000 MTS., le Naiguatá 2.100
MTS. et le pic EL TORO 2005 MTS d'altitude dominent les cœurs et les âmes
des caraquegnes et coté Sud et Sud-Ouest la Cordillère de l'Interieur a
1.500 MTS d'altitude ou se trouvent d'autres villes de banlieu: SAN
ANTONIO DE LOS ALTOS, CARRIZAL et la capitale de l'État Miranda: LOS
TEQUES, ou vivent des caraquégnes, ceux qui a la poussuite d'un climat
encore plus tempéré, amoureux de la
fraîcheur humide bonne pour les maladies respiratoires, pour les cheuveux
et la
peau. Los Teques ou jadis les indiens caraïbes dénommés TEQUES on
perdu leur grand chef GUAICAIPURO dans un guet append a
l'époque de la conquête espagnole.
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JOSETTE: Les 'Manifs' à Caracas son très colorés
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a Santz BARCELONA (ES) l'Entré CyberRanch0, Penelope au piano
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